« Sa peinture, en mouvement, éruption comme un cri de liberté rompt les chaines de notre asservissement et de nos carcans. Elle nous invite entre rêve et réalité, entre ciel et terre à échapper à toute emprise, à nous envoler, flotter dans la liberté la plus absolue. Comme des variations musicales, les 4éléments rythment la peinture d’Olfa qui célèbre, la Terre, l’Eau, l’ Air et le Feu. L’artiste est si intensément reliée à ces 4 éléments, qu’elle semble en être le prolongement. »

« La magie de sa poésie oeuvre et envoûte, elle nous envole et nous fait découvrir un Ailleurs. »Comme des variations musicales, les 4éléments rythment la peinture d’Olfa qui célèbre, la Terre, l’Eau, l’ Air et le Feu. L’artiste est si intensément reliée à ces 4 éléments, qu’elle semble en être le prolongement. »

Liberté du geste, légèreté de la touche, fluidité du mouvement, la peinture de Olfa est toute de poésie aérienne, et de rêves arc-en-ciel. Est-ce parce que son métier est fait de calculs et de mesures quelle s’offre cette échappée onirique, cette joyeuses débandade de formes et de couleurs ?

« Olfa tente d’éliminer toute tentative de signifier afin de mettre le spectateur face à la présence, au surgissement immédiat de ce qui se tient là, une dialectique s’opère entre l’oeuvre et ce lui qui la regarde. Cette volonté qu’a l’artiste d’échapper aux sentiers battus, voire au pouvoir du sens, en d’autres termes à la réductions de la toiles à sa valeurs des signes, fait que l’oeuvre lui fait faire ce qu’elle veut. Comme si la toile s’exécutait en elle même sous les yeux de l’artiste. Le fait est qu’elle est d’autant plus, guidée par « l’oeuvre se faisant » que par la volonté délibérée de l’artiste. Ainsi la peinture dans ce sens n’a de référent qu’elle même. »

« Olfa fonctionne d’une façon intuitive, inductive provenant de l’intérieur de soi. Elle ne démarre pas avec une composition préconçue mais plutôt avec l’idée du contraste de deux ou plusieurs couleurs et peu à peu équilibre l’ensemble par un processus graduel, intuitif qui conduit l’oeuvre de l’intérieur vers l’extérieur. » Cette volonté qu’a l’artiste d’échapper aux sentiers battus, voire au pouvoir du sens, en d’autres termes à la réductions de la toiles à sa valeurs des signes, fait que l’oeuvre lui fait faire ce qu’elle veut. Comme si la toile s’exécutait en elle même sous les yeux de l’artiste. Le fait est qu’elle est d’autant plus, guidée par « l’oeuvre se faisant » que par la volonté délibérée de l’artiste. Ainsi la peinture dans ce sens n’a de référent qu’elle même. »